L'introduction du Métaverse (dans les rêves de nombreuses entreprises avec Meta en tête) apportera des nouvelles importantes aussi dans le monde du travail : le mode de rencontre par rendez-vous d'affaires en réalité virtuelle est sur le point d'être définitivement dégagé.
Pour tâter le terrain, Microsoft a mis en place une enquête très indicative. D'après le récent rapport Indice des tendances de travail, il semble que la plupart des travailleurs sont disposés à effectuer au moins une partie de leur travail dans le métaverse.
Environ 52 % des travailleurs "est ouvert à l'utilisation d'espaces numériques immersifs dans le métaverse pour des réunions ou des activités de groupe dès l'année prochaine." Les salariés restants (47-48%) n'acceptent pas de se présenter aux réunions via leurs avatars numériques. Jetez un œil à ce prospectus (en anglais).
Innovation métaverse
Il est presque superflu de souligner que l'enthousiasme pour cette nouvelle introduction vient avant tout des gens jeunes travailleurs. En référence à la statistique précédente, 51 % de la génération Z et 48 % des travailleurs de la génération Y sont intéressés à utiliser le métaverse pour des réunions d’affaires.
Au contraire, seulement 27 % des baby-boomers est prêt à accueillir la nouvelle avec enthousiasme.
Et maintenant, nous arrivons aux "poches de résistance": 16 % des travailleurs il n'est pas du tout attiré du métaverse, e % environ 13 même pas sûr de ce que c'est.
Compte tenu du caractère relativement « jeune » de l’idée, il est surprenant de découvrir combien de personnes sont ouvertes à l’idée de l’utiliser, notamment sur le lieu de travail pour organiser des réunions et des rassemblements (qui font déjà leurs premiers pas).
Ravi de vous rencontrer : ça peut marcher
En attendant une diffusion plus large et rassurante de cette technologie pour contribuer à sa diffusion, réfléchissons-y. Le métaverse a le potentiel de résoudre les conflits croissants liés au travail à distance. L’univers digital pourrait plaire aussi bien aux managers qui souhaitent rester en contact avec leur équipe qu’aux salariés qui souhaitent travailler à domicile.
Le potentiel de ce nouveau monde reste encore à découvrir, mais ce n’est un secret pour personne que cette idée apportera des changements significatifs.
Pour l’instant, il suffit d’attendre les premières nouvelles officielles et de savoir ce qui va se passer. Certaines entreprises semblent encore réticentes à profiter des réunions virtuelles, mais l’opinion des salariés pourrait changer la donne.