HSP Magnavem, « Big Bird » pour les amis, est le projet de développement d'un avion inusable qui vise à atteindre 1850 1.150 km/h (3 2003 miles par heure) : ils permettraient qu'un voyage de Londres à New York ne dure que XNUMX heures. Un pincement plus lent que le Concorde, rappellent les concepteurs, mais sans les problèmes sous-jacents du légendaire avion supersonique anglo-français mis de côté en XNUMX.
Presque une croisière
L'énorme avion en forme de pointe de flèche possède deux ponts : la première classe à l'étage et la classe touriste en bas. Et quand je dis « première classe », je ne plaisante pas. Pas de transats ni de sièges mezzanine, on parle ici de petites suites privées et même d'un spa. Sans oublier la vue incroyable grâce aux fenêtres « plafond » au-dessus de leurs sièges.
Au total, jusqu'à 500 personnes pourraient s'installer confortablement dans un engin plus lourd qu'un Airbus A380 (l'avion le plus lourd aujourd'hui).
Un avion atomique, littéralement
Dans les intentions des concepteurs, ce géant à ailes, long de 70 mètres et pesant près de 270 tonnes, aurait des mini réacteurs à fusion situés sous les ponts passagers. Ils alimenteraient les quatre énormes moteurs électriques à statoréacteurs à l'arrière du fuselage.
Ces derniers pousseraient d'abord Big Bird à plus de 15.000 XNUMX mètres d'altitude, puis, grâce à ses jets dynamog, ils le porteraient à une vitesse supersonique.
L'avenir supersonique du transport aérien
Compte tenu des scénarios qui pourraient bientôt rendre obsolète le transport aérien court-courrier (coûts et pollution), l'avenir des vols commerciaux pourrait trouver une voie supersonique. Comme mentionné, plus lent qu'un Concorde : mais le Concorde a échoué, trop bruyant et cher, avec ses quelques passagers.
Une nouvelle catégorie d'avions spacieux, abordables et silencieux pourrait être une percée. Avion ambitieux, mais « possible » : le concepteur de Magnavem, Vinals Oscar, il en est sûr. Sa conception, dés, est basé sur la réalité : il ne s'agit pas d'un rendu farfelu (désolé), mais d'un projet né de l'analyse de données sur les technologies disponibles aujourd'hui.
Le réacteur à fusion compact (CFR portable) pour alimenter les moteurs, les techniques de construction, la pérennité économique du projet (360 places touristiques et 140 entre classe affaires et première classe) : le tout étudié en détail. Pour le moment, cependant, la «prudence» dictée par le moment historique n'a approché que les institutions et les universités du projet, et uniquement à des fins d'étude.
Pour être supersonique, c'est un futur qui va plutôt lentement.